Fetjaine, Jean-Louis - Le crépuscule des elfes

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Année d’éditions: 1998
Editions : BELFOND
Nombres de pages: 372

Prix – Amazon:
Grand format : 16,90 €
Format poche : 7,70 €
Format numérique : 12,99 €

Quatrième de couverture :
Il y a bien longtemps, avant même Merlin et le Roi Arthur, le monde n'était qu'une sombre forêt de chênes et de hêtres, peuplée d'elfes et de races étranges
dont nous avons aujourd'hui perdu jusqu'au souvenir. Dans ces temps anciens, les elfes étaient un peuple puissant et redouté des hommes, des êtres pleins
de grâce à la peau d'un bleu très pâle, qui savaient encore maîtriser les forces obscures de la nature.Ce livre est le récit de leurs dernières heures, depuis la
rencontre du chevalier Uter et de Lliane, la reine des elfes, dont la beauté fascinait tous ceux qui l'approchaient. L'histoire d'une trahison et de la chute de
tout un monde, d'un combat désespéré et d'un amour impossible. Dans un Moyen-Âge où le merveilleux côtoie la violence et la cruauté, ce fabuleux roman,
nourri par une inépuisable imagination et une grande connaissance du monde médiéval, établit un pont entre l'univers des légendes celtiques, la fantasy et
le cycle arthurien." Une plume efficace et apte à ressusciter la magie et la fureur des temps anciens. ", Jacques Baudou, Le Monde." Un conte de fées qui se
dévore avec une larme au coin de l'œil. ", Laurence Vidal, Gala." Un formidable roman, cruel, parfois violent, toujours envoûtant. ", Laurent Fialaix, Questions
de femmes." Un merveilleux roman plein d'irréel. ", Françoise Xenakis, Page des libraires." Epoustouflant ! Et le critique pouvant être un témoin digne de foi,
croyez-nous, les elfes existent puisque nous les avons rencontrés ! ", Anne-Marie Sambroni, La Marseillaise.

Cette trilogie traîne dans ma Pàl depuis 4 ans... Merci Excalibri, de l'en sortir!

D'autant que ma foi, cette lecture n'est pas mauvaise, pour se replonger un peu plus activement dans la fantasy (non jeunesse), c'est même très bien.

Cela dit, je ne suis pas tout à fait conquise par ce premier tome. Ce que j'aime bien, c'est que ça me fait reprendre contact avec la légende arthurienne, même si on est en amont de celle-ci. Le récit est assez court, efficace. J'ai aussi un peu pensé à Tolkien lorsque les hommes, les nains, les elfes se rassemblent pour une quête, même si je dois signaler que la quête n'est pas la même, et les implications non plus... Mais il y a aussi un quatrième peuple, les gobelins, au-delà des montagnes...
Bref, un petit sentiment de déjà-vu, même si ça ne joue plus par la suite.

Le fait que le récit soit court, ça me frustre un peu. J'ai l'impression de peu connaître les personnages, et je trouve ça un peu dommage. Je sais aussi, pour avoir lu d'autres livres de l'auteur, qu'il n'embellit pas les actes par de grands sentiments. Du coup, parfois, on a l'impression que tous les personnage sont froids...

(Cela dit, je lis le deuxième tome actuellement, et je dois dire que j'ai été remuée une ou deux fois... donc, ça s'améliore!)

Comme dit dans ma parenthèse, ce qui est sûr, c'est que j'ai mis la suite pas loin, car j'ai envie de voir où va nous mener M. Fetjaine, avec ces elfes... Et puis, après ça, je relirai probablement Les Dames du Lac, de Marion Zimmer Bradley, parce que j'avais adoré sa vision du mythe d'Arthur, et que j'ai beaucoup pensé à elle durant cette lecture-ci...