[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Année de première édition: 1835
Editions : Le Livre de Poche
Nombres de pages: 443
Prix – Amazon: 2,85 €
Format poche
Quatrième de couverture :Paris, fin 1819. Dans une sordide pension près du Panthéon, la maison Vauquer, cohabitent les acteurs ou témoins de l'une
des histoires les plus cruelles de la littérature : Vautrin, Rastignac et Goriot. L'inquiétant Vautrin, ancien bagnard qui se fait
passer pour rentier, tente en vain d'entraîner dans un marché criminel Eugène de Rastignac, jeune étudiant ambitieux et sensible
venu faire son droit à paris. Quant au père Goriot, doyen de la pension, c'est un vieillard pathétique qui dissimule un secret, un
secret qui fait de lui un homme de plus en plus pauvre, que sa misère croissante oblige grimper d'étage en étage dans la pension
pour y occuper des logements toujours plus misérables, jusqu'aux galetas des mansardes. Goriot se ruinerait-il en entretenant
des femmes ? Oui. Mais ces femmes, ce sont ses filles, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen, deux ingrates entrées
dans la haute société parisienne et qui ont honte de leur père, enrichi dans la fabrication des pâtes alimentaires. Pour qu'elles
lui vouent un peu de reconnaissance, ce papa poule va pousser l'abnégation jusqu'au sacrifice. Assis sur un banc sur les
Champs-Elysées, il les voit passer en calèche, dans leur bel équipage, et dit : " J'aimerais être le petit chien sur leurs genoux ! "
Il a bien mérité l'appellation de " Christ de la paternité " celui qui avoue : " J'ai bien expié le péché de les trop aimer. "