Je ressors de ce roman après 2 jours et demi sans réussir à le lâcher ! Je découvre Victoria Hislop avec cette histoire, et d’emblée c’est un coup de cœur !
Pourtant, ce n’était pas gagné au début. L’histoire qui se passe de nos jours n’est là que pour nous amener à la narration d’une autre histoire se passant pendant la Seconde Guerre Mondiale, à Grenade, en partie. Et tout le long je me suis demandée où l’auteure voulait en venir. Et quand à la fin j’ai su, honnêtement je me suis sentie bien bête de ne pas y avoir pensé de moi-même ! Que tout se recoupe comme cela m’a rendue admirative et a fini de me conforter dans mon avis de coup de cœur.
Je suis une grande fan des romans de guerre, et j’ai souhaité lire ce livre sans vraiment réaliser de quoi il allait relater. Alors, en tournant les premières pages, je me suis fait une fausse idée : je m’imaginais que tout tournerait autour de Grenade et de la danse, alors j’avais du mal à entrer dans l’histoire. Mais est venu le moment du récit sur lequel tout le reste s’appuie, et là j’ai vraiment dévoré le livre. Les faits racontés m’ont passionnée, et j’ai poursuivi ma lecture avec avidité ! Et je ne peux que dire, après l’avoir refermé, que tout m’a plu. Les personnages principaux étaient vraiment attachants. J’avais l’impression d’évoluer avec eux. J’ai éprouvé beaucoup de peine. Mais de toute façon, je ressens toujours ce sentiment face aux histoires de ce thème.
Je dis bravo à Victoria Hislop. J’ai voyagé grâce à elle. Elle m’a passionnée du début à la fin, sur 452 pages. Magnifique, envoûtant, descriptions magnifiques mais aussi très réalistes, bonne exposition au passé de la guerre. Vraiment un très beau livre (avec une très belle couverture en prime).