Mon avis :
Menteuse à mi-temps est une histoire légère sur les difficultés de l’adolescence, sur le fait que lorsqu’on à 17 ans, on rêve d’en avoir 20 et de faire partie de la cours des grands et ce, encore plus, si l’on vit en Californie, entouré de gens beau, riche et intelligent.
Cette histoire est idéale pour passer un bon moment de détente.
Pendant un certain temps, j’ai eu envie de frapper Alex, de la secouer, de lui crier de se réveiller, que sa vie, c’était elle qui en faisait ce qu’elle était et que si elle voulait que sa vie soit meilleure, elle devait se remuer, je trouvais qu’elle se plaignait trop facilement mais après elle m’a fait de la peine, elle essaye de s’en sortir, de ne plus mentir, de devenir meilleure, c’est à partir de là que je l’ai vraiment appréciée.
Quand à sa copine M., c’est le stéréotype des Californienne pourrie gâtées qui ont tout cuit dans leurs mains, que chacun pense plus heureuse que la moyenne mais qui en fait sont plus malheureuse que n’importe qui car la carte gold de papa est là pour compenser l’amour et l’attention qu’on ne leur accorde pas. Mais malgré tout ça, je ne trouve pas que ce soit une bonne amie.
Je connaissais le style d’Alyson Noël pour avoir lu la série Eternels. Ici, le registre est totalement différent mais l’écriture fluide et agréable que j’avais appréciée est toujours bien présente. C’est une autre facette de l’auteur que je suis contente d’avoir découvert et qui m’a beaucoup plu.